Un des vétérans du visual kei, sa carrière débute aux années 80 mais ce n’est qu’avec le lancement de Kuroyume en 1991 qu’il se fait connaître. Juste après la séparation de celle-ci, Kiyoharu forme SADS en 1999 qui fait un tabac, mais qui se sépare tout de même en 2003 (pour reprendre 2010 avec Deadly 7 sins et Lesson 2). C’est alors que Kiyoharu se lance en solo, se faisant remarquer pour sa voix ainsi que pour son jeu de guitare. Durant toute sa carrière, Kiyoharu n’a cessé d’inspirer un nombre d’artiste loin d’être méconnus à la scène de musique japonaise, notamment Kyo de Dir en grey et Gara de Merry, et est également admiré par Ruki de The Gazette et Mao de Sid.

Albums:
Poetry
Mellow
Kannô Boogie
Vinnybeach ~kakuu no kaigan~
Forever Love
LIGHT -saw the light and stade-
SHADE -saw the light and shade-
SINGLES
MEDLEY
Madrigal of decadence

J’essaierai ne pas trop parler pour ne rien dire. Alors, Kiyoharu fait partie de mes artistes préférés, et pour cause. Autant qu’avec sa voix grave et souvent mélancolique que par son style musical, je reste toujours acculée sous le charme de sa musique. Sans omettre que les vocalistes qu’il a influencé font partie de mes groupes préférés, alors on suppose que c’est une bonne influence… musicalement parlant.
Je me dirais plutôt friande de Poetry et Forever love qui sont mes deux préférés et que je conseille vivement, ainsi que Singles qui est un best of méritant bien son titre.