«.Aki.» FONDATRICE
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![OS DU MOIS n°1 :: L'OS spécial printemps. [ LES VOTES ] Empty](https://2img.net/i/fa/empty.gif) |  Sujet: OS DU MOIS n°1 :: L'OS spécial printemps. [ LES VOTES ] Dim 22 Avr - 23:29 | |
|  L'OS DU MOIS d'AVRIL
LES VOTES
étant donné que nous sommes le 22 avril ( bon daccord le 23 mais bon, on va faire comme si, ne ?  ). Les votes pour déterminer qui sera le gagnant ( la gagnante :P ) de ce premier OS du mois spécial printemps commencent !! Tout d'abord un petit rappel de l'OS ainsi que les conditions à respecter. - Spoiler:
Ce premier OS du mois a pour thème :: le printemps. Ce thème est d'ailleurs très large, votre OS peut parler de tout ce qui englobe le printemps, que ce soit les fleurs, pâques, le mois de mai, le renouveau etc... Vous devrez bien sûr faire cet OS en utilisant soit des personnages de mangas, soit des personnages de dramas, soit des starsC'est pourquoi vous êtes totalement libres. Néanmoins je vais vous imposer quelques petites choses : → Vous devez placer dans votre OS le mot printemps + de 5 fois. → Vous devez inclure plusieurs personnages : 3 minimum → et votre OS doit comporter cette phrase : « le printemps ? n'est-ce pas la saison la plus étrange ? »
Les votes auront lieu jusqu'au 30 avril.
Vous pouvez voter pour plusieurs personnes à la fois ( ouii car c'est dur de départager toutes ces belles oeuvres )
Voici les participantes ![OS DU MOIS n°1 :: L'OS spécial printemps. [ LES VOTES ] 3933776953](/users/3313/24/02/78/smiles/3933776953.gif) Merci d'avoir participé ![OS DU MOIS n°1 :: L'OS spécial printemps. [ LES VOTES ] 2792229418](/users/3313/24/02/78/smiles/2792229418.gif)
→ FELIZCHO « A l'ombre dans nos rêves » Amber-Sulli-Krystal de F(x) et JongHyun de SHINee - Spoiler:
-Sous l’ombre de l’arbre protecteur-Je me suis toujours demandé pourquoi les gens appréciaient tellement le printemps. C’est la saison des amours et de la renaissance. Mais moi, je n’ai ni connu l’amour, ni constaté une quelconque renaissance lors de cette saison. Je suis toujours resté la même alors que je rêve d’être quelqu’un d’autre, d’être un autre. D’être mon opposé physique. Je ne suis pas né dans le bon corps et il me semble bien que personne ne daigne le comprendre. Je suis seul dans mon ambition, seul dans mon désir, seul dans mon monde. Je n’ai aucun soutien.
Allongé contre l’herbe des champs, le corps positionné telle une étoile échouée sur une plage de désespoir, le blond humait l’odeur douce et florale que dévoilait la brise du printemps. Il faisait doux ce jour là, il faisait beau et les cœurs se gonflaient, les amours se déclaraient, la joie voletait dans l’air et les rires s’engageaient dans l’atmosphère. L’ombre du saule pleurait son bonheur sur un homme, endormi contre son tronc, le sourire apaisé dû à un rêve charmant que Morphée avait bien voulu lui donné. Le blond lui, malgré le fait que ses yeux soient eux aussi fermés, n’arrivait à plonger dans cet univers de songes et de magie qui sûrement, lui feraient un très grand bien. Mais depuis quelques semaines, la rumination était son seul passe-temps. Et il avait de quoi faire, tout un champ l’entourait après tout. Il souffla, complètement agacé par ses états d’âme futiles et stupides. Il se redressa, repliant ses genoux contre sa poitrine féminine et les entoura de ses fins bras.
-JongHyun… JongHyun ?
Il se retourna et constata que son ami était plongé dans un profond sommeil. Le blond ravala donc sa salive, un gros sanglot venant lui obstrué la gorge. Il se leva alors pour aller se positionné aux côtés de son compère ou plutôt pour se blottir contre lui. Il huma ce parfum qu’il aimait tant, un parfum d’homme, d’un vrai homme.
-JongHyun… Réponds-moi.
Le brun grogna soudainement, sentant une présence s’installer sur son corps alors qu’il ne l’avait pas désirer. Seulement, en entendant le son de la voix qui le hélât, il ne put s’empêcher de s’apaiser et de sourire.
-Répondre à quoi petit ?
Le « petit » releva le visage tout en offrant au plus âgé une mine des plus adorables.
-Je voulais juste entendre ton timbre masculin.
JongHyun ne trouva rien à répondre et leva son visage vers les rares nuages blancs qui faisaient concurrence au soleil éclatant et chaleureux. Finalement, il préféra déclarer afin de rassurer le petit poussin qui tremblât contre lui :
-Ne t’en fais pas, tu peux aussi l’avoir. Il suffit d’y croire.
-Chose que tu ne fais pas...
Le printemps n’a rien d’extraordinaire. Il a ses choses qui font de lui une saison particulière et différente des autres. Mais en cela, il ne se différencie ni de l’été, ni de l’hiver ou même de l’automne. Mon avis est simple, il nous est indispensable pour nous éviter de nous perdre dans l’ennui d’une seule saison non divisible et monotone. Là non plus, il n’a rien de singulier par rapport aux autres. Mais au final, c’est peut-être moi qui suis las de cette vie misérable que je subis.
La nuit tomba tardivement et finalement, les deux jeunes personnes n’avaient rien fait de leur journée. Il l’avait passé à observer le ciel, le blé doré qui parsemait le sol, à sentir l’odeur floral qui se dégageait de ce champ sauvage et frivole. Que très peu de paroles furent prononcées, beaucoup plus de souffles s’échappèrent de leurs lèvres interdites et troublées.
-Envahi par le cruel céleste-
J’en souffre encore énormément. Je vais finir par haïr le printemps. L’aura de sa déesse est perfide et sournoise. Elle m’enivre d’un poison indétectable qui déchire mes veines, qui laisse mon sang couler à travers ma peau, qui au final, me rappelle la réalité du corps que j’habite. Il n’est pas le mien. Je suis un autre. Elle ne le comprend pas cette déesse. Et pourtant, les déesses ne sont-elles pas censées être la bonté incarnée, la compréhension dans son état le plus pure, la clarté même de la pureté ? En elle je n’y vois aucune de ces qualités. Et pourtant, elle a toujours été ma déesse.
Le brun s’avança vers la beauté divine qui s'affairait à retourner les aliments qui cuisirent sur le grill afin de la saluer. Celle-ci le réceptionna par une embrassade amicale des plus innocentes. Du moins, c’est ce qu’elle semblait faire croire au meilleur ami du blond. Puis la divine s’avança vers le blond et lui offrit un sourire des plus crus. Elle l’écarta afin de se retrouver loin du brouhaha enjoué des vacanciers et de l’animation pittoresque qui déferlait au bord de l’eau. Elle le plaqua contre le mur et déposa froidement ses lèvres sur la bouche attristée de l’autre.
-Krystal arrête. On est plus ensemble. Alors arrête de te foutre de moi.
-Tu sais très bien ce qu’il faut pour que l’on puisse se remettre en couple.
-Hors de question !
-Mais Amber ! Tu es vraiment malade ! Tu es une femme et jamais personne ne te verras autrement !
Le blond maintenant démasqué baissa le regard embué de grosses larmes pleines d’effroi et de chagrin avant de commencer à prendre la fuite.
-Preuve : Tu chiales comme une gonzesse !
Mais de quelle cruelle parole faisait preuve la divinité ! Elle riait aux éclats, fière de sa médisance, arrogante dans son cœur, sadique dans son âme, insensible au monde qui l’entourât. Peut-être ne fut-elle capable de ressentir de sentiments humains, peut-être ne connaissait-elle pas le respect, qu’il n’existât jamais de là d’où elle venait. Sûrement que dans les cieux, les règles et les opinions fussent différentes et que les êtres n’avaient d’humain seulement que l’apparence. Seulement, il fallait que le blond se stoppât de lui trouver des excuses, qu’il s’arrêtât dans la vénération de cette être venimeux.
Je pense qu’au final, je haïrai le printemps jusqu’à mon dernier souffle. Je me demande d’ailleurs si je ne veux pas le rendre dès maintenant. Subir cette existence dans ce corps que je ne juge aucunement le mien me devient insupportable. Si seulement quelqu’un acceptait ce que je suis réellement et qu’il m’aide dans mon projet. Je ne serais sûrement pas là, sous l’ombre de ce saule, à me protéger derrière la seule aura que je juge de protectrice. JongHyun ne m’aide pas. La beauté de la divinité pècheresse l’a lui aussi envoûté. Tout en elle était l’éclat de magie et prosternation. Son regard nous guide vers la soumission, sa voix nous tend à nous rendre ses esclaves. Je l’aime. Mais une déesse ne peut accorder son cœur seulement à la perfection et moi, je suis une erreur.
-L’ombre a perçut le profond mal-
Je t’ai vu ce soir là, perdu dans les ténèbres chaleureuses que t’offrait ce magnifique et paternel arbre. La sagesse qui émanait du vert précieux de ses feuilles t’apparaissait tel l’ange divin dont je rêvais chaque nuit. Celui qui comblerait le trou béant de mon âme. Celui qui la remplirait même de sa passion. Il me semble que tu ne m’as jamais regardé avec cette intensité que je pouvais percevoir lorsque tu observais la venimeuse. Je n’ai jamais été jalouse d’elle car après tout, j’ai changé ton printemps. Maintenant, nous vivons heureux, tous les deux. N’est-ce pas ? Même si tu ne vis pas réellement pour moi, je le ferai pour nous deux.
Elle ne vivait pour personne. Sa vie était constituée que d’une seule corde dont la sonorité monocorde démontrait une vie plate et sans éclats. Un destin creux et sans péripéties. La brune observait l’histoire d’autrui pour se bâtir la sienne. Elle pleura le long de sa ballade nocturne. Tout, dans ce champ lui rappelait à quel point son être n’était pas attractif, que ses cheveux ne brillaient pas comme l’or de ce blé, que sa voix n’était pas aussi douce que la brise qui chuchotait sur sa peau des incantations inaudibles mais pourtant si plaisantes, que son derme n’était pas aussi doux que le feuillages de ce centenaire à l’aura protectrice, que son cœur n’était pas aussi gonflé et pimpant que l’imposant tronc qui poussait au respect du vieil arbre.
En face de cet être vaillant, elle vit une âme errante, perdue dans l’oubli nocturne. Lui aussi pleurait. Étaient-ils tous deux destinés à se rencontrer sous ce saule ? Elle s’assit à ses côtés, ne le lâchant pas du regard.
-Je m’appelle Sulli.
-J’aurais aimé ne jamais m’appeler Amber.
-Pourquoi ?
-Je ne suis pas une femme. Je n’ai pas à porter ce prénom.
-Alors ne le porte pas.
-Hein ?
La brune ne répondit pas, préférant se caler contre le tronc ferme et confortable de son nouveau père. Elle se sentit papillon dans sa chrysalide, prête à en ressortir, seulement avec une particularité que ces petites merveilles n’ont pas : une âme sœur venue du même cocon. Et pour la première fois depuis qu’elle est prit conscience de son effacement, elle sourit, elle sourit faisant ainsi ressortir toute sa joie : sentiment qu’elle n’avait alors jusque là jamais reconnue, l’ayant perdue il y a des lustres.
-Tu es vraiment bel homme. Tout à fait mon genre.
Il y a de ces jours que l’ont bénirait éternellement. Et celui-ci demeurera, même après ma mort, dans ma mémoire, au sein de mon être, au creux de mon ventre, dans l’antre de mon cœur. Il paraît que depuis que nous nous sommes rencontrés, nous sommes devenus ce que nous voulions être. Ou plutôt, nous avons réussis à être nous-mêmes. J’ai trouvé qui je suis : je crois en toi. Je suis le pont entre le monde et toi. Entre ton enveloppe charnelle et toi. Et toi, tu es l’homme que j’aime. Alors, n’est-ce pas que j’ai changé ton printemps ?
-Sauvé par la foi et fusionné avec la beauté-
Mais qui es-tu, jeune femme pour t’insinuer ainsi dans ma vie et me sauver de mes pensées mortelles ? Es-tu réelle ? Es-tu ma destinée ? Depuis, je ne suis pas prêt à te laisser partir. Je suis devenu dépendant d’une illusion de l’obscure qui ne peut s’acheminer vers la lumière. M’as-tu dupé ? Pourquoi ne vis-tu que par moi ? Suis-je le seul transitoire entre la réalité et toi ? Entre l’obscurité et la clarté ? Sulli, prouve-moi que je ne suis pas sorti de ce cocon sans toi. J’ai vraiment peur, tu sais, d’avoir rêvé cette nuit. Seulement, la douceur de ta peau est bien réelle, l’odeur fruitée de tes cheveux enchante vraiment mes sens, ton sourire m’envoûte toujours et ton regard me donne toujours autant de courage. Le sais-tu ça, que tu as changé toute ma conception du printemps ? Que cette saison est désormais pour mois l’instant de la vie le plus précieux à mes yeux ? Que chaque année je renais et revis cette soirée sans jamais m’en lasser. Que toi, à mes côtés, c’est la preuve que nous existons tous deux. Que tu es le papillon qui m’a guidé vers mon vrai moi, qui a osé dépouiller mon chemin de tous les obstacles qui l’obstruaient. La venimeuse n’existe plus. Ton poison à toi est bien plus merveilleux.
Finalement, j’ai vécu les pires sentiments et les meilleures visions lors de la même saison et tout cela grâce à toi. La beauté du paysage printanier à fusionnée avec la tienne et moi je suis l’homme que j’ai toujours rêvé d’être. J’ai trouvé la personne qui m’a permit d’être moi-même le jour où je pensais creuser ma tombe.
-Dis Sulli, le printemps, n’est-ce pas la saison la plus étrange ?
-Tu penses ?
-Je me demande. Après tout, je t’ai rencontrée toi. L’incarnation même de cette saison. Tu m’as fait renaître en même temps que ces bourgeons là, qu’on peut voir sur ces branches. Et notre père, le saule, renaît chaque année depuis plusieurs centaines d’années ! Avec toi, je me sens capable de faire la même chose.
-Ca fait huit ans maintenant que ce saule est devenu notre maison et que son ombre nous protège.
-Ne le quittons jamais.
-Jamais.
→ EUHNYUK « Au pays imaginaires des lapins de Pâques » Pays : Japon, Kyoto - Spoiler:
Au pays imaginaires des lapins de Pâques
Le printemps, n'est-ce pas la saison la plus étrange ? Pleins de fêtes arrivent pendant le printemps. Toutes les fleurs fleurissent en cette saison c'est pour ça que c'est si beau. Au Japon, les cerisiers commencent à fleurir. La plus belles fêtes pendant le printemps c'est sûrement pâques. Tous ces enfants qui cherchent les chocolats dans les jardins.Il arrivait même que certains aillent les chercher dans la forêt. nous allons voir ça de suite. Mais parlons un peu du printemps, il commence vers la fin du mois de mars et se termine en juin. A Kyoto, toutes les plantes, bourgeons et végétation commence à fleurir. Ce qui rend la ville encore plus belle qu'avant. Vous allez voir, tout commence ici... Et aussi, toute bonne chose à forcément une fin proche ou lointaine.En Asie, plus précisément à kyoto c'était enfin pâques. Tous les enfants attendaient avec impatience la venu de cette fête! Les parents eux, pendant que leurs enfants dormaient tranquillement allaient cacher les oeufs tant attendues par les enfants. au printemps, Kyoto était sûrement une des plus belle ville. Nous allons nous intéresser à une famille plus particulière. la famille ''chisame'' qui eux cachaient leurs oeufs dans la forêt! Ils n'y avaient aucun danger dans cette forêt vu que les deux parents étaient avec leur fille unique nommait Alice. Elle possédait des cheveux blonds plat et des yeux bleus magnifique. cette petite fille était toujours avec un noeud bleu dans les cheveux et avec une robe bleue à froufrou. Dès que ses parents vinrent la réveiller, elle sauta de son lit et alla mettre sa robe et son noeud. En courant elle laissa ses parents au loin et s'aventura dans la forêt. soudain, elle crut voir un lapin blanc ''petit, vient-là'' ceci fût ses paroles. Il se cacha derrière un buisson de mûres. alice y jeta un oeil, il n'y avait rien. La jeune fille mangea une mures et tout devint trouble autour d'elle. soudain, elle rouvrit les yeux et se trouva allongeait dans une plaine. elle croyait rêver, mais elle voyait des arbres qui faisaient des cloches en chocolat et même des buissons qui produisaient de petits oeufs en chocolat. La jeune fille décida de se lever et d'aller à la rencontre des gens s'il y en avait bien sûr. En chemin elle croisa un homme avec des oreilles de lapin marrons. ''C'est bizarre tu n'as pas d'oreille'' lui dit-il. Alice lui dit qu'elle venait du kyoto, le lapin lui dit que c'est le monde où ils distribuent les chocolats. Le lapin s’appelle Adam et il racontait que ses poules qui faisaient des œufs en chocolats était malade à cause du Chat De Chesire qui s’appeler Boris. Adam l’accuser d’avoir donner des graines au poules car s’est poules ne manger que du chocolat. Adam et Alice partirent à la rencontre de Boris. Certes Alice trouvait très beau Adam mais elle ne pouvait pas lui dire. C’était comme si il l’avait entendu ‘’ Toi aussi tu est très belle Alice’’ dit-il. Comment avait-il sûr qu’elle avait dit ceci ? Alice ne l’avait pas dit à voie pourtant pas dit à voie haute mais bon passons. Les deux compagnons venaient d’arriver devant un arbre creux. Adam dit à Alice de monter sur son dos, c’Est-ce qu’elle fît. Et il sauta dans le trou qui se trouvait dans le creux de l’arbre. Bam, c’est le bruit qu’Adam fît quand il retomba sur ses pieds. Une immense clairière avec de l’herbe violette se trouvait devant eux. Alice n’en revenait pas c’était si beau. ‘’Adam, est-ce que je pourrai rester pour toujours avec toi..?’’ dit-elle toujours sur son dos. Celui la posa par terre et ils s’assirent tout deux sur l’herbe verte très haute. ‘’ Oui, c’est possible. Si tu veux vraiment rester j’effacerai la mémoire de tes parents et ça serait comme s’il n’avait jamais eût d’enfants.’’ lui dit-il sur un ton content. ‘’Je veux rester avec toi alors…’’ lui dit-elle en lui serrant la main. Adam tourna la tête et dit en bégayant’’ Alice… Je..Je..T’aime.. De tout mon être…’’. Ce moment romantique fût coupé par Boris qui surgit pas derrière et propulsa au loin Alice qui s’évanouit. ‘’ Boris ! Tu vas le regrettée ! Pourquoi as-tu fait ça ?! C’est Pâques, tu n’à pas le droit de faire du mal aux gens!’’ cria-t-il. Boris ricana et lui demanda ce qu’il voulait. Il avoua que c’était lui qui avait nourrit les poules avec des graines. Boris lui dit qu’il pouvait les guérir ave des baies marron qu’il trouverai dans le sac d’Alice. Soudain, il ne sût pas pourquoi mais Alice se réveilla et elle le serra dans ses bras en le regardant dans les yeux. ‘’ Moi aussi Adam, je t’aime de tout mon être….’’ Alice rougit et soudain Adam lui dit de lui montrer son sac et il sortie une baie marron. '' Cela servira à soigner mes deux poules.''. La jeune fille lui sourit et ils se levèrent main dans la main vers le trou où ils étaient rentrés et ils le remontèrent. Alice sur le dos d'Adam qui montait sur la paroi du trou. Arrivée à la surface, les deux jeunes gens se mirent en chemins pour trouver les poules d'Adam. Soudain, il s'arrêta et il lui demande si elle voulait vraiment rester avec lui pour toujours. Alice le regarda dans les yeux et lui dit qu'elle voulait rester avec lui pour toujours. Parce qu'elle l'aimait plus que tout au monde. Adam s'approcha et lui fît un baiser sur la bouche. Alice n'en revenait pas. Soudain, Adam s'éloigna et repensa aux poules. Puis, ils se remirent à marcher côte à côté. Les poules était là couchée sur de la paille, Adam s'approcha et leur fît manger. La baie venait de fonctionner, désormais elles étaient toutes deux en pleine santé. Adam et Alice partirent vers le petit bout de clairière. ''Alice, je vais aller avec toi dans ton monde. Et je vais effacer la mémoire de tes parents vu que tu veux rester avec moi et moi aussi je veux rester avec toi. Comme cela ils ne verront rien..'' Alice lui répondit qu'elle était d'accord. Tous les deux remontèrent à Kyoto et atterrirent chez Alice. La jeune fille embrasse une dernière ceux qui étaient ses parents et Adam dit une formule'' Souvenir proche, souvenir toilettage Envolez-vous''. Et ils partirent tous les deux dans le monde imaginaires des lapins de Pâques. Adam et Alice vécurent heureux pour toujours.. Et c'est ainsi que ce fini cette aventure remplie de romance et d'aventure. The End.
→ AMANE « Sous les Cerisiers » Nichkhun, Junho, Junsu, Wooyoung [ 2PM ] - Spoiler:
![OS DU MOIS n°1 :: L'OS spécial printemps. [ LES VOTES ] 5106268](https://twimg0-a.akamaihd.net/profile_images/2086932543/5106268.png) ![OS DU MOIS n°1 :: L'OS spécial printemps. [ LES VOTES ] 51062510](https://i.servimg.com/u/f43/16/83/50/83/51062510.png) Sous les cerisiers.Les yeux rivés sur les cerisiers en fleurs qui embellissent l'allée, Junho attend son ami Nichkhun. Cet ami qui un peu plus loin, est sur le point de dévoiler son amour à Wooyoung. Nichkhun se sent prêt à révéler les secrets amoureux qui font battre son cœur. Une légère brise souffle et Junho à le regard qui se fixe sur les quelques pétales qui chutent et s'écrasent au sol. Les sentiments de Nichkhun sont partagés. Le vent se lève une nouvelle fois et certaines feuilles s'accrochent aux ramures pour ne pas tomber sur la terre. Junho trouve que ses pétales ressemblent bien à Nichkhun. A cette saison qu'est le printemps, de nouveaux rêves éclosent et de nouvelles émotions fleurissent. Alors qu'il aurait pu les laisser se faner, Nichkhun s'est accroché à eux. Je l'aime et je l'aurais. Le vent se calme et les fragments colorés de l'arbre qui ont résisté survivent. Nichkhun embrasse Wooyoung, sous les cerisiers ses désirs deviennent réalité. Sous les cerisiers, Junho réalise qu'il n'a jamais comprit le sens du verbe désirer.
Un mois plus tard.
- Désolé Junho.
- Nichkhun …
- Oui ?
- Non rien, laisse tomber.
Nichkhun s'excuse t-il parce que la place qu'occupe Junho dans son cœur se fait de plus en plus étroite ? Ou parce que son cœur appartient à un autre et qu'il ne contrôle plus rien ? Junho aimerait lui poser ces questions mais il retient les mots avant qu'ils ne s'échappent. Au fond, il ne sait pas ce qu'est d'aimer à en perdre la raison, de désirer jusqu'à la déraison. Alors même si une simple réponse s'offrait à lui il aurait besoin d'une traduction. Car comment comprendre ce que signifie le manque, comment ressentir la douleur de l'absence quand on a aucune attache ? Alors cette fois encore il s'en ira seul, chercher une réponse sous les cerisiers. Là où tout a commencé.
Assis sur son banc habituel Junho réfléchit ; que peut-il y avoir de si obsessionnel chez quelqu'un au point de ne plus pouvoir s'en passer ? Perdu dans ses pensées, il n'a pas remarqué que quelqu'un s'est assis à ses côtés.
- Junho ?
Cet inconnu, comment connaît-il son prénom ? En regardant plus attentivement le nouveau visage n'est pas inconnu à Junho. Il se souvient de lui avoir parlé dans un de ses rêves. Dans un de ces fragments d'existence qui donnent vie aux sombres nuits. L'un d'entre eux avait demandé « le printemps ? n'est-ce pas la saison la plus étrange ? » mais la seule réponse qu'eut cette question fut un réveil orchestré par le son de la pluie aux heures les plus perdues de la nuit.
- Junsu ?
Le prénom de l'inconnu apparaît comme une évidence dans les pensées de Junho. Junsu est une de ces personnes, de ces rencontres qui sont guidées par le destin. Une attirance déterminée par une suite de coïncidences. L'esprit de Junho marqué par leur première rencontre a donné vie à Junsu dans un de ces songes que l'ont oublie au réveil. Seulement son cœur noya l'attraction naissante par des interrogations au sujet de Nichkhun ; et passa à côté de ce nouvel attrait.
Deux semaines plus tard.
En cette matinée printanière, les deux nouvelles connaissances se voient pour la sixième fois. Un sixième rendez-vous où les échanges de sourires envoûtent les deux regards qui se croisent et ne se lâchent plus. Une sixième rencontre où les visages se rapprochent dangereusement. Une énième fois où les questions tourmentent Junho aux instants où il devrait être interdit de réfléchir.
- Junsu, dit moi, le printemps ? N'est ce pas la saison la plus étrange ?
Le ciel déjà devenu gris, déverse sans retenue ses plus froides gouttes. Forcés de rentrer chacun de leurs côtés séparés par une pluie tombée bien trop tôt, cette question ne trouvera jamais sa réponse ...
•
Le printemps de Junho aurait pu être beau. Si seulement il avait suivit le chemin fleuri que son cœur lui avait ouvert plutôt que la voie terne de la raison. Alors que son monde monochrome se teintait de sublimes couleurs il ne cessait de se demander mais est ce que je désire vraiment cette personne ? Ne trouvant pas de réponse il se détourna des élégants paysages qu'offre le printemps lorsqu'il se mêle à l'amour. Et il se heurta à un décor, le décor de sa vie, dénué de sentiments et de passion. Si seulement Junho avait laissé son cœur dériver dans l'océan des émotions cette saison aurait pu être la plus belle. Il aurait pu contempler le tableau le plus exquis de son existence. Si seulement il n'avait pas réfléchi.
→ BOOH « Le printemps c'est toi. » Taemin, JongHyun [ SHINEE ]
- Spoiler:
Le printemps, c'est toi.![OS DU MOIS n°1 :: L'OS spécial printemps. [ LES VOTES ] 847498tumblrleuq10yEF01qf6la4o1500](https://2img.net/r/hpimg15/pics/847498tumblrleuq10yEF01qf6la4o1500.png)
" Le printemps, n'est ce pas la saison la plus étrange ?"
Je levais les yeux de mon livre en entendant sa voix avant de jeter un rapide coup d'œil par la fenêtre. Je haussais les épaules. Ce fut ma seule réponse. Il avait encore ses yeux d'enfant et s'émerveillait devant n'importe quoi, c'était peut être ce qui m'avait toujours attiré chez lui, cette douceur enfantine. J'avais peur qu'en élevant à peine la voix, je puisse le briser.
Le printemps ? Je ne voyais pas ce que le printemps avait de spécial, c'était une saison comme une autre, quelques mois qui passent et qui reviennent. Rien d'extraordinaire. Je n'ai jamais été très romantique et il le savait. Ce couple étrange que nous formons n'a rien de conventionnel. Deux hommes. Une chose peu appréciée dans notre société, pourtant, j'étais prêt à affronter tous les obstacles pour lui. Ce garçon qui s'émerveillait devant des bourgeons et un peu de vent.
"Pourquoi est ce que c'est si spécial à tes yeux Taemin ?"
Je ne pouvais résister à ce petit sourire qu'il m'offrait avec tant de tendresse. Il avait mon cœur à ses pieds.
"Parce que tout se mélange... Le soleil, la pluie, la chaleur, le froid... C'est un peu comme toi tu sais. Compliqué, un peu brouillon et magnifique en même temps. C'est toi le printemps JongHyun."
Je préférais baisser mon regard. Je n'avais pas l'habitude de ce genre de déclaration, franche et aussi spontanée. Je n'étais pas encore capable de me dévoiler aussi facilement et sans crainte. Ces sentiments en moi, je n'étais pas prêt à les lui avouer de façon aussi naturelle. Je déposais mon roman sur la table et me levais pour le rejoindre passant mes bras autour de sa taille, mon torse contre son dos. Sa chaleur, son parfum, j'en étais prisonnier et je n'avais aucune envie de m'évader. Des instants de délicatesse que je savourais. C'était mieux que la drogue, que le chocolat, bien plus beau que le printemps. Bizarrement, je trouvais ce paysage à travers cette vitre beaucoup plus intéressant à ses côtés. Les feuilles dansaient avec le vent et les premières fleurs faisaient leur apparition. C'était la première fois que je prêtais attention à ce genre de détail futiles.
Je fermais mes paupières pour profiter de ce moment de calme et d'humilité. Je l'avouais, j'étais éperdument amoureux. Je t'aime. Des petits mots si difficiles à prononcer qu'il restait coincés au fond de ma gorge.
J'étais tellement perdu dans mes pensées que je n'entendis pas la porte s'ouvrir, mais seulement la voix de notre leader qui me fit sursauter, et les battements mon coeur qui s'emballait.
"Hey les gars ! C'est le printemps aujourd'hui ! Ca vous dit de faire un petit tour ?!"
Un soupire traversa la barrière de mes lèvres. Je n'étais pas contre, mais je n'appréciais pas cette façon qu'il avait eu de briser ce moment.
Je me détachais de l'homme que j'aimais et je sentis sa main glisser dans la mienne, j'étais prêt à sortir de la pièce pour rejoindre le plus âgé, mais à mon grand étonnement, il ne me laissa m'enfuir.
Je penchais la tête pour l'observer, je connaissais chacun de ses traits par coeur. Un sourire qui me fait tressaillir et puis son souffle qui se mélange au mien. Je raffolais des ses baisers, de ses lèvres contre les miennes qui faisait frissonner mon corps entier. Finalement, le printemps, ce n'est pas si mal.
→ SAYURI « Sans titre » Eunhyuk, Junsu, Donghae, Sungmin, Heechul [ JYJ, Super Junior ]
- Spoiler:
Il était une fois, non en faites il était déjà 26 fois.
Un monde comme celui que vous croyez voir à votre écran, que vous croyez comprendre, Oui c'est bien celui auquel vous pensez. Ce monde qui vous paraient si mal mais qui vous fait temps rêver.
Dans pas moins d'une semaine c'est mon anniversaire, j’entends tellement de personnes dire qu'elles n’apprécient pas cette date ,que je commence à me demander si je l'aime. Mais malgré tout pour l'instant j'en m'en réjouis, plus les jours passe plus je me dit que ce sera un jour merveilleux. Avec les personnes que j'aime, ma famille, mes ami(e)s et mes fans. Ils sont tous toujours là pour moi même quand c'est mon anniversaire donc j'ai décidé de leur faire un cadeau.
Puisque nous sommes au printemps, je pensais à un concert sur ce thème en pleine air, avec mes ami(e) et gratuit. Mais une telle chose sa ne s'organise pas en claquant des doigts, non ? Il me reste une semaine et temps de choses à faire.
Il me reste a leurs demander s'il veulent m'aider et me faire plaisir... Il me reste la lourde tache d'organiser les passages... Il me reste à savoir comment mettre le « Printemps » en valeur... Il me reste encore tant de choses à faire.. Et mon emploi du temps ne s'allègent pas, malgré l'ardeur que j'y met.
Et voilà, moi qui aurait rêver jour et nuit pour aboutir ce plan je finit avec des morceau de plan inassimilable. Ma chambre n'était peut-être pas toujours ranger mais aujourd'hui quand je la regarde je me demande comment il m'est encore possible d'accéder à mon lit. Cela fait bien deux jours que je cherche cette stupide fiche sur le printemps emprunté à l’une de mes cousines, pourtant une fiche sur le printemps faite par une gamine de 5ans sa ne devrait pas ressortir du lots comparé à mes écrits ? Je crois que si je racontais ça à Donghae il en pleurerait presque de rire le connaissant. Mais ils n'est pas là alors, je lui raconterait quand il me rejoindra. Mais.. enfaîte je suis presque seul depuis bien une semaine, tout le monde revient au dortoir ça c'est sur mais ils ne reste jamais très longtemps... Au moins je ne suis pas trop détourné de l'organisation de tout cela.
<< Quel abruti ! m'écriais-je tout à coup, sa dois bien faire une heure que je fixe ces tas de feuilles.. Normale de ne rien trouver si je ne cherche pas !
Et bien je te laisse une petite semaine et déjà tu ne trouve plus rien. >>
Déclara une personne près de la porte, quand celle-ci s'avança elle marcha sur un tas de feuilles et laissa échapper un léger rire nerveux à l'idée du rangement.
<< Enfin en voyant cela je pense que je comprend ta folie souri-t-il.
Si tu savais comme tu me sauve en arrivant maintenant, peut tu m'aider a trier un peu tout ça... juste un peu.. demandai-je faisant un aeygo irrésistible.
Raah ! Avec toi a chaque fois c'est pareils ! J'arrive je me dit cette fois-ci je vais simplement m'asseoir et discuter mais non tu as toujours besoin de moi.. Bon commençons par ça... Oh !? Mais qu'est ce que c'est ? Location du scène d’extérieur... Pourquoi as-tu cela ? Questionna-t-il.
Aaah !! Rends- moi ça ! C'est rien juste un brouillon pour un vieux plan foireux.. expliquais-je en essayant de cacher mon regret.
Hum... peut-être pourrait-on l'organiser pour ton anniversaire ? S'enquit mon ami.
Non, je trouve cette idée niaise et puis il est trop tard maintenant. >>
Je n'ose pas avouer mon petit plan, qui ne vaux pas un clous. Au moins je ne suis lus seul, je préfère ça. Mais ? Au faite pourquoi est-il revenu si tôt.
<< Junsu ? Comment cela ce fait -il ?
Eh bien, je me suis dit que te laisser seul une semaine avant ton anniversaire n'était pas digne de moi donc je suis revenu.
Dit tu vas arrêter de te lancer des fleurs et dit moi ?
Le tournage est reporter car l'actrice principale a un tournage qui se rallonge donc j'ai quelque jour de repos, que je pensais passer ranger ta chambre. Rigola Xiah.
ça va j'ai comprit, viens on va dans le salon. Annonçais-je.
Yeah ! Je commençais a fatiguer à force de ranger. Dit-il mimant des douleurs dans les bras.
Alala ! Pauvre petit, ça va t'as pas trop mal j’espère, déclarai-je pendant que nous nous dirigions vers le salon, t'as soulever deux feuilles que tu n'as même pas ranger juste poser 5cm plus loin...
Tu ne sais pas à quel point ces feuilles étaient lourdes pour mes pauvres petit bras, qui travaille déjà beaucoup trop... déclara-t-il avec une moue. >>
Arrivez au salon il s'installe, et je vais nous chercher des rafraîchissements. Pas besoin de lui demander ce qu'il veut c'est toujours là même chose un thé darjinling et moi je vais simplement me prendre un jus d'orange. On passe des heures a parler et parler de tout et de rien. Mais il doit partir.. eh.. oui même lui est trop occupé pour me tenir compagnie plus longtemps. Je décide de ranger ma chambre avant de m'affaler sur le canapé regarder Immortal song voir comment s'en sorte mes petits amis. Houla ! Je crois que j'aurais pas fini avant que sa commence.
Aujourd'hui il fait beau je préfère ça car aujourd'hui je m'envole pour la Chine, je ne sais pas encore pourquoi je sais simplement que c'est marqué sur mon planning. Au moins j'aurais moins l'impression de solitude que j'ai en restant au dortoir. Au moment ou je pense monter dans la voiture, quelqu'un m’appelle... C'est Sungmin !
<< Eunhyuk !! J'ai failli te rater ! Tu aurait pu m'attendre ! m'enguirlanda le brun.
Mais pourquoi ? Je suis presser, tu sais, je dois me rendre en Chine, qu'y a-t-il ?
Sa je sais ! Je viens avec toi ! Déclara mon ami.
Hein ? Ah , bon et bien monte dépêche toi ! M'exclamais-je.
Tu ne te rappelais vraiment pas que je devais venir avec ? Me questionna-t-il tout en montant dans la voiture.
Non ! Mais c'est pas si grave, tu est là maintenant. Nous pouvons y aller ! Go l'aventure !! criait-je pendant que la voiture commença a avancer.
Tu m'as l'air bien pris dans tes pensés ces derniers temps ? Est-ce qu'il y quelque chose qui te tracasse ?
Sungmin s'inquiète toujours beaucoup trop pour moi, je vais essayer de ne pas l'inquiéter plus.
Non tout va bien ! Souriais-je, tu t’inquiète beaucoup trop !
Si tu le dit, mais au faite est-ce que tu sais pourquoi on va Chine ?
Euh.. non je m'était dit que tu devait le savoir.
Hum.. Je me demande quand même..
Pas la peine de se prendre la tête pour savoir, on verra déjà se qui nous y attend bien assez tôt. Déclarais-je.
Le chemin jusqu'à l’aéroport fût bien tranquille Sungmin me racontais ces journées en détails, puis on s'installa dans l'avion je m'assis coter fenêtre. Là près de cette fenêtre, pensant pouvoir m'évader, à suivre mes pensés mais tout à coup l'on survola des nuages gris,le printemps n'est ce pas la saison la plus étrange... Il y a des fleurs si estivale qui poussent au balcon et dans les jardins mais malgré tout il y a tellement de nuage gris et d’averses.
Après une bonne demi-heure de vole, Morphée vient me chercher, moi je me laissa doucement porter. Durant mon petit somme, je fit un rêve étrange, où dans ma chambre il y a avait quelqu'un qui me prenait les feuilles qui me servait à organiser ma surprise, car celle-ci voulait m'empêcher d'y arriver. Après un certains temps passer a ce petit jeu elle décida de me faire disparaître serait plus radicale que de faire du une feuille par ci et une par là. Au moment fatidique ou j'allais rendre mon dernier souffle je me réveilla dans un râle d'horreur.
« Han ! ?? Euhnyuk ? Ça va ? Tu as besoin de quelque chose ? De l'eau, de l'air, à manger ?? tu veux quoi ? S’inquiéta mon ami.
Non ne t'inquiète pas tant pour si peux.. J'ai juste fait un petit mauvais rêve rien de plus, me dépêchais-je de lui certifier.
Il est vrai que tu me paraissait bien surmené ces dernier temps, tu veux me raconter tout ça ?
Non, c'est bon j'ai juste eut du mal a dormir ces derniers temps.
Allez, raconte tout à Tonton Sung' ! Me souria-il.
Mais arrête, tu m'aide pas en disant des trucs comme ça, rigolais-je, sa me fait faire des cauchemar.
Rooh, si je peut plus rigoler... se mit-il a baragouiner. »
Je ne voulais pas qu'il se mette à bouder donc je lui fit un câlin en profitant pour le chatouiller, je crois que les Chinois juste à coter on dût se poser quelques questions. Enfin bref, nous voilà presque arriver à destination.
Tout comme tout doucement l'on se rapproche de cette date que depuis peu je redoute, tout doucement nous nous approchons de se lieu de rendez-vous dont je n'est toujours aucune idée de se que nous devons y faire.
Je sais si bien qu'à cette date, il n'y aura que très peu de cadeaux et avec certitude aucun de la part de ce chère Junsu. Il dit que sinon je lui coûterait trop cher et que l'ont est trop proche pour s'offrir des cadeaux. Cela me fait rire car à Noël j'ai malgré tout le droit a un petit quelque chose la dernière fois c'était une gourmette, Pourquoi ? Alors là ne me demandait pas à moi.
On y arrive, un shooting je pense puisque nous avons notre styliste qui nous suis de près, quand elle fait cela j'ai l’impression qu'elle veut lire dans mes pensée ce que je voudrait porter. A la fin nous nous sommes mit d'accord, oralement malgré à quel point elle aimerait que non, pour un style simple ne comporte que très peu d'accessoire .
Sungmin est bien étrange , enfin c'est le printemps cette saison étrange, on dirait qu'il se prépare pourrait-un concert, toutes ces petites habitudes sont là, ces yeux montres la même excitation et la même impression de trac. Je commence vraiment à être mois aussi stressé mais pourquoi donc... mon corps est en mode concerts mais mon cerveau est en mode off. Je suis perdu, les gens autour s'active, cour même, devrait-je moi aussi courir ? Suis-je en retard ? Je... que dois-je faire ? J'assaie de demander a ma styliste, au gens qui passe et même … Mais ! Que fait-il ici ? Pourquoi Donghae est-il ici ? Et, tiens ! Heechul !! Serait-il possible que nous ayons un concert et que j'ai oublié.
« Ah ! Euhnyuk-hyung ! Vous-êtes ici ! Que faites vous là, venez je vais vous menez a votre place... dit-il tout en me prenant par le bras.
Je.. euh.. Ma place ? Demandai-je totalement perdu.
Allez hâtons-nous, il ne faudrait pas être en retard ! Me souri-t-il.
En retard pourquoi ? fit-je encore plus perdu à chaque instant, suis-je entrain de rêver, ne suis-je pas encore réveiller ?
Hahaha ! Ce que vous êtes marrant, et même plus en vrai s'exclama le jeune homme.
Après cinq minutes, on arriva devant une grande scène, le rideau étant tiré je ne savais pas ce qu'il se passait derrière mais je put comprendre qu'il y avait de l'agitation. Il me fit promettre de ne pas bouger... un peu perdu... J’attendis sagement à ma place pendant que les places derrière moi ce remplissais petit à petit. Je 'osais pas vraiment me retourner voir ces personnes, je ne sias pourquoi j'avais l'impression de ne pas être en droit de faire cela.
Après une demi-heure à essayer de surprendre les discussions des personnes alentours, le rideau se leva enfin, et ce que je vis ne m'aida pas à choisir entre rêve et réalité. Les Girls Generation était entrain de chanter « Genie » et à l'arrière l'on pouvait voir des membres de pleins de groupes différents. A la fin de la chanson se fut comment si j’étais dans une autre dimension.
« Bonjour à tous !!! Je suis Xiah Junsu du groupe JYJ !
Bonjour ! Je suis Donghae du groupe Super Junior !
Bonjour ! Je suis Tiffany de Grils Generation !
- Aujourd'hui nous sommes présent pour célébrer l'anniversaire d'une personne qui nous est chère à tous …. EUHNYUK !!!!!!!!!! S’écria Junsu.
Joyeux Anniversaire !!!! se mit a crier le publics et tout mes ami(e)s présent sur la scène.
Tout ceci est une surprise, il n'était au courant de rien !!! fit remarquer Tiffany.
Viens nous rejoindre sur scène !!! Allez monte ! Qu'on te fassent un Gros Câlin ! S'empressa de dire Donghae. »
Je monta sur scène et remercia tout le monde, et quand se fut autour de Leeteuk, il me murmura que tout ceci était principalement l’effort de Junsu. Après cela je crois que Junsu à faillit mourir tellemnt je lu serrer dans mes bras...
La soiré continua avec tellement de surprise que je fut un peu prit au dépourvu. Ma soiré fut entrecoupé de rires, de larmes de joie et même de frayeur atroce, comme quand Heechul ma voulu comme cible pour son spectacle de lancer de couteau.
« Peux de gens le savent mais le printemps est la saison du changement, le soleil et les nuages se battent pour savoir qui doit rester dans le ciel, pour admirer les fleurs qui éclosent doucement. Les oiseaux sorte subtilement leur bec pour chanter en harmonie avec le bourdonnement des insectes.
Et il arrive parfois que le printemps permettent a des personnes de changer pour
ce qu'ils aiment. »
Quand Junsu fait son poète cela finit souvent en massacre mais je crois qu'aujourd'hui, cela me plaît.
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